Le temps file à une vitesse ! « Like a hobo », c’étaitil y a 10 ans déjà, mais le chapeau est encore là. Charlie Winston est de retour et a gagné en puissance et en douceur. Il est comme apaisé.
Il revient avec un nouvel album, Square 1 et renoue avec le bonheur d’aller vers son public. Cet album a goût d’instant présent, d’art de vivre, de légèreté. Les chansons sont comme des polaroids, capturant pour un moment les images que nous avons de nous-mêmes, de nos vies, de nos histoires.
L’auteur-compositeur-interprète réinvente sa musique dans ce nouvel album, naviguant entre jazz, folk et électro pop, un quatrième album terriblement réussi.
Après sa décision de divorcer de la musique, nous sommes très heureux d’être les témoins de cette sublime réconciliation sur la scène de Jazz à Carthage !
Autant vous prévenir tout de suite, rien ne pourra vous préparer à l'intensité de ce concert. Une femme et son piano, une déferlante d’émotions qui vous transperceront de part en part, vous ne verrez plus rien d’autre, vous n’aurez plus d’autre choix que de celui de vous laisser emporter par la vague puissante de cette chanteuse de jazz-pop.
Elle a cette incroyable voix qui met à nu toutes les blessures, toutes les déceptions, toutes les marques laissées par la vie. Elle vous ouvre son univers rocailleux et sublime, parfois un peu dur, mais toujours poignant.
Elle arrive avec un nouvel album, Blood Siren, un peu plus sobre, un peu moins écorché vif que les précédents, mais encore plus bouleversant. Parce que dire les choses qui font mal avec douceur met encore plus à nu le désespoir, la rage et finalement l’espoir, comme une porte qui s’ouvre et qui laisse entrer la lumière.
