l’artiste Farah Khelil présente de nouvelles installations constituées de documents, objets, cartes postales, projection de diapositives, dessins en petits formats réalisés à partir des fragments d’un dictionnaire familial ainsi qu’un papier peint superposant objets et images anciennes.
En se référant à l’histoire de l’art occidental et à son histoire personnelle, l’artiste propose une forme éclatée et hétérogène qui interroge pensée et connaissance, nature et culture, perte et transmission.