Woyzeck vit là où le chien est enterré: le chien s’appelle Woyzeck.
Nous attendons avec peur et/ou espoir que le chien revienne incarné en loup. Le Loup vient du sud.
Quand le soleil est au zénith, il se marie à notre ombre et l’histoire commence à l’heure de l’incandescence. » D’après Heiner Müller – Woyzeck
Georg Büchner est décédé très jeune, à l’âge de 23 ans, en 1837, en laissant quatre brouillons inachevés de « Woyzeck ». Depuis les années vingt, cette pièce s’est imposé en envahissant les scènes du monde entier, mettant en place un processus de questionnements sans fin.
Büchner déclarait : Chaque homme est un abîme. On a le vertige quand on se penche dessus.
Les billets sont disponible au guichet du 4ème Art